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Près de 200 musiciens pour donner vie à l’oratorio inédit d’un compositeur neuchâtelois

Compositeur prolifique, le Neuchâtelois Samuel Ducommun a laissé de nombreuses œuvres inédites. Ecrit en 1958, son oratorio «La moisson de feu» sera joué pour la première fois le 16 mars au temple du Bas, à Neuchâtel, par des élèves de la Haute école de musique.

11 mars 2019, 17:42
Le chef Nicolas Farine a passé plusieurs week-ends à retravailler les partitions brutes de "La Moisson de feu" (image d'illustration).

Faire vivre pour la première fois un oratorio écrit il y a 60 ans par un compositeur neuchâtelois, voilà le pari un peu fou que s’apprêtent à relever près de 200 musiciens de la Haute école de musique de Genève (HEM). Ceci sous la direction de Nicolas Farine, qui est également responsable du chœur de l’école. Plus précisément, ce sont 60 musiciens de l’orchestre et 110 choristes du chœur de la HEM, ainsi qu’un chœur d’enfants issus des classes du Conservatoire de Neuchâtel et de Genève qui présenteront au public «La moisson de feu», de Samuel Ducommun, le 16 mars au temple du Bas, à Neuchâtel.

Né à Peseux en 1914 et décédé à Auvernier en 1987, Samuel Ducommun fut enseignant au Conservatoire et organiste titulaire de la Collégiale de Neuchâtel durant 45 ans, depuis 1942 jusqu’à sa mort. Elève de Charles Faller, il a laissé une œuvre considérable. «Un...

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