Le défi lancé en 1985 par Jean Ruch, président du comité d'organisation et membre fondateur du Festival choral international de Neuchâtel (FCIN), est relevé depuis lors, tous les deux ans, avec la même énergie et une rigueur artistique sans cesse renouvelée.
Toujours plus nombreux, les choristes viennent cette année de Grèce, Pologne, Suisse, Bulgarie, Hongrie, Finlande, République tchèque, Venezuela, Ukraine, Biélorussie et Russie. Près de 500 chanteurs ont ainsi été sélectionnés parmi les meilleurs amateurs - cette qualification ne s'applique pas aux directeurs. Ils se présenteront, du 8 au 11 août, en formations mixtes ou voix de femmes.
Chaque catégorie interprétera deux pièces, l'une sacrée, l'autre profane, le matin à la Collégiale. L'après-midi au temple du Bas, on entendra "There is sweet music" du compositeur anglais Edward Elgar, oeuvre imposée par le festival. Suivront une partition composée après l'an 2000 par un musicien du pays d'origine de la chorale ainsi...