Indémodable depuis 33 ans, la «Nouvelle Revue neuchâteloise» (NRN) consacre sa publication trimestrielle de printemps à Fernand Morel (1914-2012). Fernand qui?, diront nombre d’amateurs de peinture figurative sans que cela ne choque les oreilles du comité de rédaction de ce 129e fascicule, intitulé «De la peinture des Salons d’octobre aux ‘sagalithes’ de la solitude» et rédigé par Patrice Allanfranchini.
«Fernand Morel est un peintre neuchâtelois oublié», comme tant d’autres des années 1940 à 1960, regrette Michel Schlup. «Un peintre talentueux, touche à tout. Et au grand cœur, car il a ouvert ...