Il n'aura pas fallu longtemps pour mesurer les effets indésirables de l'introduction, le 1er janvier, de la taxe au sac sur la station d'épuration du Landeron (Step). Celle-ci recueille les eaux usées de la localité, mais aussi celles de la Neuveville, de l'établissement pénitentiaire de Saint-Jean, de Lignières, de Nods et du foyer d'éducation de Prêles, soit un potentiel de 16 000 équivalents-habitants. Tous les dix jours en effet, un peu plus d'une tonne de déchets supplémentaires aboutissent dans les grilles d'entrée, confirme Jean-Claude Girard, le chef de la station. "Après sept mois, o...
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Des lames de rasoir aux prothèses
Depuis la taxe au sac, la station d'épuration croule sous les déchets.

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