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Lambiel à Neuchâtel «comme on ne m’a encore jamais vu»

«Get up!» c’est un chapiteau, quatre scènes, quatre shows. Et Yann Lambiel qui chante, joue, imite. Un artiste au sommet de son art.

11 févr. 2016, 01:31
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Vendredi 5 février, 15h: un quadra barbu et binoclard fait le pied de grue devant le Café de la gare, à Morges, lieu de l’interview. Est-ce qu’un reste de timidité collerait aux basques de l’humoriste qui redoutait d’«entrer dans un bistrot tout seul» à ses débuts? Il dément sans conviction: «J’ai quand même fait des progrès sur ce plan-là». Mais ne comptez pas sur lui pour jouer les rigolos de service. «Mon fils est drôle, pas moi. Au départ je voulais être chanteur, puis j’ai réalisé qu’en imitant Johnny, je faisais rire, mais c’est l’artifice qui fait rire. Je me sens plus artiste de music-hall que comique».

Après 20 ans de scène, l’humoriste pas comique arrive enfin à «mettre en lumière l’artiste Yann Lambiel». Il chante de sa «vraie voix» l’une des plus belles chansons du spectacle, un hommage à François Silvant. «C’est le moment le...

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