Diplômée, en 1985, de l'Institut de science cinématographique de Florence, Denise Gilliand inscrit sa vie professionnelle et personnelle dans l'engagement de «donner la parole à ceux qui ne l'ont pas, rendre humanité et dignité à ceux que la société rejette». Une démarche analogue à celle de Serge Sàndor, qu'elle avait rencontré en 1981 au Mexique, où il montait des pièces de théâtre dans des prisons, et qu'elle avait retrouvé huit ans plus tard à Bochuz (VD), où il se livrait à la même activité.
Depuis «Les bas-fonds», elle a notamment réalisé un documentaire sur les Near death experiences et un autre consacré à l'école Steiner. / comm-jmp