Debout sur un bloc en béton de deux tonnes, il règle le ballet des monteurs. Un ordre crié en suisse-allemand et les dix manoeuvres du cirque Nock s'activent. Un moteur ronronne, des câbles se tendent, le deuxième mât du chapiteau s'élève et rejoint le premier dans les airs. La Revue prenait hier ses quartiers sur la pelouse du stade de la Maladière, à Neuchâtel, quelques heures après avoir quitté celle de Saxon.
Depuis le 12 décembre, l'équipe d'Antoine Marchon, responsable de la production, prépare l'arrivée du chapiteau. Plus de 390 plaques en aluminium, disposées habituellement sous les s...