Ancien de Canal+ et chroniqueur des «objets qui nous font chier», Michel Leclerc n’a pas son pareil pour démonter les clichés et dénoncer les injustices de notre société. Avec le concours de Baya Kasmi, coscénariste et actrice, il récidive dans «La lutte des classes». Rencontre avec le réalisateur et sa complice.
Michel Leclerc, qu’est-ce qui vous a inspiré ce film?
Avec Baya, on a vécu une dizaine d’années à Bagnolet. Nos enfants allaient dans l’école qu’on a filmée. A la suite d’un problème rencontré par notre fils, on a ressenti un doute existentiel...