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Jugé pour avoir menacé une personne avec une arme à feu factice

Accusé notamment d'avoir menacé une de ses connaissances avec une arme à feu factice, un trentenaire a dû répondre des ses actes ce matin au tribunal de police, à Neuchâtel. Le juge notifiera le verdict ultérieurement.

31 janv. 2013, 17:50
Pour une histoire d'escroquerie, un trentenaire a menacé un homme avec une arme à feu factice.

Accusé notamment d'avoir menacé une de ses connaissances avec une arme à feu factice, un trentenaire a dû répondre des ses actes ce matin au tribunal de police, à Neuchâtel.  Le tribunal notifiera ultérieurement le jugement.

Des menaces aux lésions corporelles simples en passant par l’agression ou l’escroquerie, neuf préventions ont été retenues contre le trentenaire né à Bagdad. Selon son avocat, ce dernier serait peut-être parti en France pour s’engager dans la légion ou reparti en Iraq.

L’un des deux plaignants semblait toujours aussi traumatisé par les faits écoulés lorsque le juge Sandoz lui a demandé de raconter l’impact de cette journée du 15 septembre 2011. Bien que la victime ait cru voir sa vie défiler, il faut préciser que l’arme à feu en question était factice. 

Prétendant pouvoir obtenir des cigarettes à un meilleur prix grâce à une connaissance chez Philip Morris, le prévenu a proposé au plaignant 155 cartouches pour 7550 francs.

Une fois l’argent empoché, le prévenu disparaissait. Apprenant que la victime avait porté plainte, le prévenu acquéra une arme à feu factice et se rendit deux jours plus tard au kebab du plaignant. Après l'avoir menacé, il lui asséna un coup de tête en s’écriant: «J’ai pas fini avec toi, je vais détruire ta famille complètement.»

 

Depuis cet événement, le plaignant est sous anti-dépresseurs et il est suivi par un psychologue. Il a par ailleurs déposé une demande AI.
 
Le tribunal notifiera ultérieurement le jugement. 
 
Intégralité de l'article à lire demain dans "L'Express".
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