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Du cru et dansante, la prog' 2018 du Buskers de Neuchâtel

La 29e édition du Buskers festival animera une fois de plus la zone piétonne de la ville de Neuchâtel du 14 au 18 août. Tour d’horizon.

01 juin 2018, 17:10
Les organisateurs espèrent que le temps maussade de la dernière édition reste un mauvais souvenir.

Des artistes locaux et une programmation axée sur la danse. Voilà la cuvée que nous propose la 29e édition du Buskers festival, qui se déroulera du 14 au 18 août au sein de la zone piétonne de Neuchâtel.

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Lokart (danse contemporaine) ou encore Nicolas Dal Sasso & The Band (pop/folk) représenteront la scène neuchâteloise. Les biennois Hermanos Perdidos (musique tzigane/cumbia) et Duo Dorado (world jazz) complètent la panoplie artistique régionale.

Mais la veine internationale demeure l’une des forces du festival de rue, avec notamment la venue de la fanfare béninoise Olaïtan (danses et chants traditionnels) ou encore des Russes Dobranotch. Au total, vingt groupes se produiront au fil de la semaine.

Nouvel espace couvert

Nouveauté cette année: l’espace couvert «festif» qui avait été installé devant le temple du Bas l’année dernière sera transféré à la rue du concert. Il pourra servir d’abri si la météo est capricieuse. Des «plans B» sont également à nouveau mis en place dans trois lieux: la Maison du Concert, au temple du Bas et au péristyle de l’hôtel de ville.

Une mauvaise nouvelle cependant. Après une vingtaine d’années d’activités, la cour des contes disparaît. L’espace habituel n’est plus disponible et aucune solution de repli satisfaisante n’a été trouvée. «Nous ne désirons pas que le festival s’étale hors de la zone piétonne», explique la coorganisatrice Sandrine Troyon-Jimenez.

La TVA, nouveau sponsor en 2019
Désormais reconnue d’utilité publique, l’association du Buskers festival devra s’acquitter de la TVA uniquement si son chiffre d’affaires dépasse 150000 francs par an. «Et on n’y arrivera pas», lâche Georges Grillon avec un sourire. Le coorganisateur explique que le nouveau statut implique une économie de 7000 à 8000 francs, dès 2019. Si le festival avait été dans la même situation lors de la dernière édition, «nous n’aurions pas eu de perte à éponger», avance-t-il.

 

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