L’incident est clos et les étudiants rassurés: ils pourront continuer d’organiser des soirées estudiantines à la Case à choc et à la ferme de Pierre-à-Bot, à Neuchâtel (notre édition d’hier). Cette affirmation ressort clairement de la réponse que destine le Conseil communal à l’interpellation popvertssol intitulée «Neuchâtel une ville étudiante mais sans étudiants, sans fête et sans vie culturelle abordable?»; un rapport qui sera débattu lundi soir lors de la séance du Conseil général de Neuchâtel.
L’interpellation faisait suite à une réaction de la Fédération des étudiants neuchâtelois (FEN), qui avait jeté un pavé dans la mare en octobre dernier lorsqu’elle assurait que les autorités de la Ville interdisaient l’accès à la Case à chocs à certaines associations estudiantines. Dans le communiqué diffusé mercredi, la direction de la Culture parle d’un malentendu «résultant de maladresses dans la communication de la part de la Ville». Pour sa part, la FEN...