Alpiq, dont le siège se trouve à
Neuchâtel, a pâti l'an dernier de la faiblesse de l'euro et de la baisse
des prix sur le marché de l'électricité. Le groupe né de la fusion
entre Atel et EOS a affiché un bénéfice consolidé en recul de 4,6% par
rapport à l'exercice 2009, à 645 millions de francs. /ats
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Votre publicité ici avec IMPACT_medias