Du haut de ses 64 printemps, elle n’a pas été épargnée. L’Université populaire neuchâteloise (UPN) a dû accuser le coup du coronavirus. A l’instar de toutes les institutions, elle a dû abandonner une partie de son programme 2019-2020. Néanmoins, les cinq membres de son comité n’ont rien perdu de leur entrain. Ce mercredi, ils ont présenté leur affiche 2020-2021.
Même si les rendez-vous sont passés de 120 à 100, l’offre reste toujours aussi riche. Les langues ont, de tout temps, rencontré un succès particulier. «Les gens les étudient pour le plaisir ou pour leur profession», relève André Feller.
Domaines en vogue
Certains centres d’intérêt émergent de manière considérable. Tels que «le développement personnel, les aspects de la vie quotidienne ou ceux liés à l’environnement», note Jean-Luc Renk, président cantonal. Quant aux concerts, il sera désormais possible de s’y inscrire au coup par coup et non pas de s’engager pour trois...