Rien ne permet de prétendre que des "abus de détresse" ont été commis à l'encontre de requérants d'asile du Centre de Perreux. La plainte pénale lancée en février contre cinq agents de sécurité et trois collaborateurs du Service cantonal des migrations (Smig), dont la directrice du centre, va aboutir à un non-lieu. Dans une lettre datée du 23 septembre, le procureur Yanis Callandret propose aux prévenus et à leurs avocats de classer l'affaire.
A la suite d'une altercation entre requérants et agents de sécurité, en décembre dernier, des allégations d'abus à caractère sexuel ont été dénoncés à ...