Le dimanche 29 avril 2013, les Neuchâtelois plaçaient en 9e place dans la course au Château le président du Conseil d'Etat d'alors. Le jour d'après, Philippe Gnaegi jetait l'éponge, renonçant à se présenter au second tour. Un mois plus tard, ses valises étaient bouclées.
Cette claque, l'ancien chef du Département de l'éducation, de la culture et des sports ne l'avait pas vue venir. Vraiment pas. Le ressenti en fut d'autant plus violent. Et la réplique lucide: il est parti puis, silence. De celui qui panse les blessures.
Car l'homme n'est pas un habitué des échecs. E...