L’année 2020 devrait marquer un tournant pour les LGBT+. Dès le 1er juillet, la discrimination en raison de l’orientation sexuelle sera sanctionnée par le Code pénal. Pourtant, cette communauté, regroupant les lesbiennes, les gays, les bi, les trans, ainsi que toutes les autres orientations sexuelles et identités de genre, est toujours la cible de discriminations et de violences.
Afin d’expliquer cette réalité, trois Neuchâtelois ont accepté de témoigner pour «ArcInfo» en vue de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, ce dimanche 17 mai.