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Homo ou trans, «un combat de tous les jours»: trois Neuchâtelois témoignent

Les discriminations et violences restent nombreuses à l’égard la communauté LGBT+. A l’occasion de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, ce dimanche 17 mai, trois Neuchâtelois ont raconté leur parcours à «ArcInfo».

16 mai 2020, 17:47
Samuel, de Serrières, a accepté de témoigner sur son homosexualité.

L’année 2020 devrait marquer un tournant pour les LGBT+. Dès le 1er juillet, la discrimination en raison de l’orientation sexuelle sera sanctionnée par le Code pénal. Pourtant, cette communauté, regroupant les lesbiennes, les gays, les bi, les trans, ainsi que toutes les autres orientations sexuelles et identités de genre, est toujours la cible de discriminations et de violences.

Afin d’expliquer cette réalité, trois Neuchâtelois ont accepté de témoigner pour «ArcInfo» en vue de la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, ce dimanche 17 mai.

«C’est un combat de tous les jours»

Samuel, alias Elyssa Fleur, pose au port de Serrières. Photo: Christian Galley

«Je suis privilégié, car j’ai toujours été entouré de personnes qui m’ont accepté.» A 25 ans, Samuel, futur étudiant en information documentaire, assume son homosexualité. Habitant de Serrières, «iel» préfère néanmoins garder son nom de famille secret.

«Iel»? Un pronom neutre utilisé pour parler des personnes...

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