Pour la première fois de son histoire, la marque horlogère chaux-de-fonnière Greubel Forsey a dû se résoudre à licencier. Cette mauvaise nouvelle est contrebalancée par la réduction à cinq du nombre de licenciements. Fin 2014 l’entreprise avait annoncé vouloir supprimer dix postes.
C’est que Greubel Forsey se montre optimiste pour l’avenir. «Nous étions 115, nous sommes maintenant 110, et nous n’avons pas touché à la production», précise Stephen Forsey, cofondateur de Greubel Forsey, dans une interview parue hier dans «L’Agefi». «Notre priorité est de maintenir les développements et la continui...