De jeunes ados ivres qui titubent dans les rues les soirs de week-end, l’image est coutumière même dans les villes de notre canton. Le phénomène des «bitures express» chez les jeunes ne faiblit pas. Cela irrite pas mal de monde. Notamment du côté des établissements publics, qui n’apprécient guère cette population bruyante, tumultueuse et surtout... qui consomme pas ou peu.
En effet, ces ados boivent dans la rue à la bouteille et sont déjà bien éméchés en entrant dans bars et discos. La réaction, c’est que de plus en plus d’établissements publics ferment leurs portes aux noctambules de moins de 18 ans. Ceux qui y sont déjà passés, comme la Case à chocs à Neuchâtel, ne le regrettent pas. Moins de tapage, de dégâts ou de salissures. Et les clients plus âgés –qui consomment, eux- reviennent. Mais est-ce la solution au problème ?
Enquête à lire dans le «Courrier neuchâtelois» de cette semaine.