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En basket comme en volley, les Granvorka sont les dignes rejetons d’une famille de champions

Quand Yoan Granvorka, joueur prometteur d’un surprenant Union qui s’apprête à accueillir deux fois «l’ogre» Fribourg, rencontre sa sœur Inès. Laquelle, avec Guin, veut déposséder le NUC de ses titres…

29 nov. 2019, 11:23
Inès et Yoan Granvorka: deux sports, une passion identique et une même recherche de l’excellence.

Le fruit ne tombe jamais loin de l’arbre. Et celui de la famille Granvorka était «programmé» pour produire des as du sport. Du volleyball en particulier. Le papa Séverin, la maman Mireille, le demi-frère Frantz, ont tous joué au plus haut niveau.

Inès (aujourd’hui âgée de 28 ans) a bien suivi le «codage familial». Elle a connu tous les honneurs avec Volero, l’équipe de Suisse et continue de titiller l’élite aujourd’hui avec Guin.

Mais voilà qu’à l’adolescence, Yoan choisit de se distinguer. Evidemment à l’aise en volleyball (il est international junior), le garçon pratique aussi le basket. Qui deviendra son métier. «J’ai voulu faire preuve d’originalité», lâche-t-il dans un grand sourire. «Je le comprends», approuve, à côté de lui dans la salle de conférences de la Riveraine, à Neuchâtel, sa grande sœur.

La complicité entre les deux champions est évidente. Sourires, regards en coin… Pendant près de deux heures, l’ailière...

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