Cet automne, l’information avait créé l’émoi auprès des parents: les élèves neuchâtelois en dernière année d’école obligatoire devaient remplir les conditions de promotion à fin janvier déjà pour accéder aux lycées. Face à la grogne générale, la conseillère d’Etat Monika Maire-Hefti supprimait cette «clause guillotine» pour que les élèves non-promus au premier semestre puissent se remonter. Soulagement pour les parents. Pourtant, d’autres «clauses guillotine» étaient maintenues.
«Ma fille a bossé comme une dingue pour remonter ses moyennes au deuxième sem...