Dernier des 21 candidats en lice pour le Conseil d’Etat, Thomas Wroblevski n’a recueilli que 988 suffrages avec sa liste «Pour un vote blanc». Soit largement moins qu’en 2014, lorsque le programme du Neuchâtelois avait tapé la barre des 10%.
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«Non, ce n’est pas une claque», considère Thomas Wroblevski. «C’est une bataille de perdue, mais pas la guerre», poursuit le candidat de 34 ans.
«De la censure»
Autant dire qu’il ne lâche pas son combat pour moderniser certains points de la loi cantonale sur les droits politiques, dont le vote blanc ou la démocratisation du droit d’initiative. Il reviendra donc à la charge lors de prochains scrutins.
«Je fais des rencontres lors de ces campagnes électorales et je commence à être approché par des élus qui s’intéressent à mes propositions», relève-t-il. Il tance par contre les médias qui, à...