«J’en ai marre, je veux rentrer au camp!» Dépité, Loïc est rabroué par les autres membres de son équipe. Au poste du bivouac, les huit scouts tentent tant bien que mal de monter leur tente octogonale. Un vrai casse-tête puisque certains n’ont droit de toucher qu’aux fils et d’autres seulement aux piquets. «Ils sont dessus depuis bientôt trente minutes. Normalement, il en faut une vingtaine» explique Quentin Nicolet, l’un des scouts les plus âgés et responsable du poste.
Tous les s...