"Valérie n'est pas prête à renoncer"

A défaut d'obtenir des éclaircissements officiels sur l'affaire Gayet-Hollande-Trierweiler, la presse s'en donne à coeur joie pour sortir de nouvelles révélations sur ce dossier très chaud.

23 janv. 2014, 09:00
La Première dame est toujours en cire de repos à la résidence La Lanterne, à l'ouest de Paris.

Les jours passent et se ressemblent... Les comptes Twitter officiels de Valérie Trierweiler, Julie Gayet et François Hollande sont désespérément vides. Le service de presse de l'Elysée ne propose aucune communication, ni démenti, ni clarification.

L'imbroglio sentimental élyséen depuis l'éclatement de l'affaire de la liaison présumée et l'hospitalisation de Valérie Trierweiler reste intact. En quinze jours, les Français ont juste obtenu deux certitudes: le Président tient à garder sa vie privée privée et il a promis de clarifier sa situation le 11 février, date d'un voyage officiel aux Etats-Unis, où il devrait être accompagné.

La presse et les internautes ne l'entendent pas de cette oreille.

Déferlement médiatique face au silence

En attendant de savoir si Valérie ou Julie sera au bras de François pendant le voyage, les journaux et le web ne se lassent pas de commenter l'affaire, véhiculer des rumeurs ou sortir des scoops.

Julie Gayet prend la pose sur les couvertures de "Elle" ou "Paris Match" avec de glorieux titres: "Une passion française", "La discrète" comme si on l'attendait déjà au poste de nouvelle girlfriend du président.

Valérie Trierweiler enchaîne des rôles moins poétiques, tour à tour présentée comme "femme normale (trahie)" dans "Grazia" ou femme caractérielle dans "VSD" qui titre sur "Il voulait rompre, elle voulait revenir. Hollande piégé?".

Closer sort jeudi et en avance un nouveau numéro: "Ils veulent la faire taire". Le magazine évoque une bataille à l'Elysée entre les pro et anti-Trierweiler, cette femme au caractère "impétueux" capable des pires "scènes de ménages" et "crises de nerfs". Malgré tout, Valérie Trierweiler souhaiterait "maintenir ses engagements de première dame envers et contre tout" et ne serait pas prête à quitter son compagnon avec qui elle est en couple depuis 10 ans.

Concernant les révélations sur la rage terrible de la Première Dame et les dégâts dans les bureaux de l'Elysée "qui aurait coûté 3 millions d'euros à l'Etat", le Mobilier national a effectué un démenti sur sa page Facebook. Le post a été retiré quelques heures après.

Restera, restera pas? La confusion reste totale.