Achaque jour suffit sa peine. Theresa May sort indemne d’un débat parlementaire britannique sur le Brexit... jusqu’au prochain, prévu lundi. À la faveur de promesses de la onzième heure, elle est parvenue à étouffer une fronde grandissante de ses propres députés conservateurs, lors de l’examen en deuxième lecture du très important projet de loi de retrait de l’Union européenne. Un texte destiné à remplacer dans le droit britannique l’acquis communautaire hérité de 45 ans d’appartenance au club.
A l’issue de son examen par la Chambre des Lords, il est ressorti bardé de quinze amendements visant ...