A quelques jours d'une attaque américaine programmée sur la Syrie, la poignée de main est devenue le baromètre du sommet du G20, pourtant consacré aux problèmes économiques.
A l'entrée du palais Constantin, à Saint-Pétersbourg, Barack Obama, considéré en Russie comme un aventureux va-t-en-guerre, a tendu la main à son homologue russe, Vladimir Poutine, son principal adversaire à une intervention militaire au Moyen-Orient. Ni chaleureux ni glacial, mais plutôt courtois, le geste témoignait surtout de la volonté des deux vedettes du G20 de pratiquer l'esquive.
Message de longue date
Une fois e...