La France le clamait haut et fort. L’ONU vient de le confirmer: le bombardement au gaz sarin du village syrien de Khan Cheikhoun (87 morts), le 4 avril dans la province d’Idlib (nord-ouest), a bien été perpétré par le régime de Bachar el-Assad.
Jeudi, les experts de l’enquête conjointe menée par l’ONU et l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) ont présenté leurs conclusions devant le Conseil de sécurité des Nations unies, à New York, décrivant le «scénario le plus probable», celui «d’une bombe larguée par un avion». Les images atroces de victimes suppliciées par ce puissa...