«Moins de départs, cela signifie moins de décès. La politique est une affaire de passion, mais aussi de chiffres. De 2014 à 2016, il y a eu plus de 15 000 décès en Méditerranée, contre 1500 jusqu’ici cette année. Cela signifie que si moins de personnes prennent la mer, moins de gens risquent de mourir...»
Tel est le raisonnement développé par Matteo Salvini, ministre de l’Intérieur et vice-président du Conseil italien, qui réagissait récemment aux derniers développements de la crise migratoire à laquelle est toujours confrontée l’Europe.
Alors que Bruxelles tente d...