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Les éléments à charge se multiplient

L’islamologue suisse a reconnu avoir eu des relations avec une plaignante française.

20 avr. 2018, 00:01

Une robe tâchée de sperme et la reconnaissance d’une relation consentie avec une des plaignantes qui a porté plainte pour viol contre Tariq Ramadan pourraient amener l’islamologue suisse à changer de système de défense. Il est actuellement détenu en France.

Mis en examen pour viol et viol sur personne vulnérable et incarcéré depuis le 2 février, Tariq Ramadan est, aujourd’hui, visé par cinq plaintes – trois en France, une aux Etats-Unis et une en Suisse – pour des faits similaires assortis de violences. Des accusations qu’il a jusqu’ici formellement contestées.

Il a cependant reconnu avoir eu des relations avec une des trois plaignantes françaises, identifiée sous le prénom de Marie, ex-escort-girl de 45 ans. Elle a décrit aux enquêteurs le même mode opératoire que les autres plaignantes: une phase de séduction sur les réseaux sociaux, puis des rencontres tournant très vite à l’agression sexuelle violente.

Un «volume incroyable» d’échanges

«Il...

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