CALENDRIER
La Ligue de diamant, dont la troisième édition démarre demain à Doha, est de plus en plus marquée par une focalisation sur le sprint. Son fondateur, le Zurichois Patrick Magyar, également patron du Weltklasse, s'exprime sur la "Bolt-dépendance" et la lisibilité encore insuffisante du grand circuit athlétique.
Patrick Magyar, comment la Ligue de diamant et l'IAAF (fédération internationale) vont-elles faire, en cette année olympique, pour s'assurer la présence de tous les meilleurs lors des 14 réunions de la Diamond League?
D'une façon générale, les meilleurs meetings auront toujours les meilleurs athlètes. Mais sur le sprint surtout, les cadors sont libres de leurs apparitions et auront toujours l'option d'éviter les confrontations directes. Par exemple, si l'un court le 100 m, l'autre choisira le 200 m... Ce n'est pas toujours commode pour les meetings, surtout en année olympique. Il faudra attendre les JO à Londres pour voir toutes les stars (Usain...