Kim Jong-Il est parti trop tôt. Le dictateur nord-coréen a transmis le flambeau à son troisième fils, Kim Jong-Un, avec quatre mois d'avance sur le calendrier qu'il avait savamment orchestré. Le 15 avril 2012, le régime devait adouber officiellement le fils du dictateur, à l'occasion des célébrations en fanfare du centenaire de son fondateur, le président "éternel" Kim Il-sung, prédisaient les experts.
La propagande avait même habilement rajeuni d'un an le dictateur afin qu'il atteigne le cap des 70 printemps l'an prochain, pour mieux créer l'illusion d'une symétrie parfaite avec son prédéce...