Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste français, attend au moins 200 000 votants à son référendum sur l’union de la gauche. Il s’en est ouvert, hier matin, en dépit de la perplexité, voire de l’hostilité de ses alliés habituels. «En deçà, ce serait un mauvais signe», a dit, hier, le patron du PS. Il mise sur ce scrutin, annoncé en septembre, pour enclencher une dynamique favorable à la gauche en vue des élections régionales de décembre et éviter une déroute de la gauche. Le vote se clora demain soir. Les électeurs devront répondre à une seule question: «Face à la droite et à l’extrême droite, souhaitez-vous l’unité de la gauche et des écologistes aux élections régionales?» Le scrutin n’est organisé que par le PS et une poignée de formations sans réelles troupes, comme le Front démocrate ou Génération écologie, sans le Front de gauche, ni Europe Ecologie-Les Verts. ATS
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