Nicolas Sarkozy et Angela Merkel se sont efforcés d'afficher leur entente hier dans la crise financière, en particulier sur le maintien de la Grèce dans l'euro. Des désaccords persistent néanmoins sur les modalités d'introduction d'une taxe sur les transactions financières.
Le président français, qui devrait briguer sa réélection lors de l'élection présidentielle française dans trois mois et demi, reste déterminé à forcer l'allure pour prélever cette taxe sur les transactions financières internationales, dite taxe Tobin, tandis que la chancelière allemande est attachée à la recherche d'un com...