Après la mort du jeune jihadiste auteur de sept assassinats, le pouvoir et la police française se défendaient hier face aux critiques sur les failles de la surveillance antiterroriste. Ils ont expliqué avoir eu affaire à un homme "sans réseau".
Mohamed Merah, tué jeudi lors d'une opération du Raid à son domicile toulousain, était connu de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI). Celle-ci l'avait entendu en novembre 2011 au retour d'un voyage au Pakistan.
Hier, François Fillon a salué le travail de la DCRI, affirmant sur la radio RTL qu'elle ne disposait d'aucun élément pour a...