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La gauche israélienne croit ferme en ses chances

Benyamin Netanyahou a tenté, en fin de campagne, de rattraper son retard sur son principal rival, le travailliste Isaac Herzog.

17 mars 2015, 00:01
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Cyrille Louis

C omme s'il sentait le sol se dérober sous ses pieds, Benyamin Netanyahou a jeté, ces dernières heures, toutes ses forces dans la bataille des législatives. Selon les ultimes sondages publiés à la veille du week-end, la liste du Camp sioniste, emmenée par le travailliste Isaac "Bouji" Herzog, afficherait une avance de quatre sièges sur celle du Likoud.

Rien n'indique que cet écart, s'il se maintient, suffise à lui permettre de former une coalition. Mais la campagne électorale engagée début décembre a mis au jour l'usure d'un premier ministre qui, dans l'incertitude, peine désormais à dissimuler sa fébrilité.

A la veille du scrutin, Benyamin Netanyahou a tenté de mobiliser son camp en mettant un très net coup de barre à droite. Il s'est notamment rendu dans le quartier de colonisation de Har Homa, dont la fondation, en 1997, avait focalisé les critiques des dirigeants palestiniens et de la...

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