La Chine a renouvelé hier ses accusations contre le dalaï-lama et des groupes tibétains, qui prépareraient, selon Pékin, des attentats suicide dans la foulée des émeutes au Tibet. La Chine fait aussi pression sur les gouvernements étrangers pour les dissuader d'entretenir des contacts avec le chef spirituel des Tibétains. L'Union européenne souhaite toutefois inviter le dalaï-lama à Bruxelles, a déclaré hier le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner. / ats
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