Le régime syrien a nié vendredi toute implication dans les raids sur un camp de déplacés près de la frontière turque hébergeant des civils fuyant les combats à Alep. Il a accusé les rebelles de procéder à des "attaques contre des cibles civiles" pour en faire assumer la responsabilité au pouvoir.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), le bombardement de ce camp de déplacés situé dans la province d'Idlib, près de la frontière turque et à une trentaine de kilomètres à l'ouest d'Alep, a fait au moins 28 morts et une cinquantaine de blessés.