Des scènes de décapitation, des discours de propagande particulièrement agressifs pour inciter des jeunes à s’engager dans une guerre ou – plus rare – des appels à la haine raciale. Ce sont quelques-uns des contenus de vidéos dont l’Office fédéral de la police a obtenu le retrait ces derniers mois sur Youtube. Depuis que Fedpol s’est vu accorder le statut de «trusted flagger» («avertisseur attitré») l’an passé, elle parvient à tenir tête au site de partage de vidéos (un milliard d’utilisateurs). Un statut privilégié accordé assez rarement.
Le «trusted flagger» est une sorte de lanceur...