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Fedpol, Youtube et le cybercrime

14 juin 2017, 01:16
Ein Papier mit der Aufschrift Youtube liegt unter einer Tasse Kaffee, anlaesslich der Pressekonferenz zur Praesentation von Youtube Schweiz am Dienstag, 9. April 2013 bei Google in Zuerich. (KEYSTONE/Ennio Leanza) SCHWEIZ MK GOOGLE YOUTUBE.CH

Des scènes de décapitation, des discours de propagande particulièrement agressifs pour inciter des jeunes à s’engager dans une guerre ou – plus rare – des appels à la haine raciale. Ce sont quelques-uns des contenus de vidéos dont l’Office fédéral de la police a obtenu le retrait ces derniers mois sur Youtube. Depuis que Fedpol s’est vu accorder le statut de «trusted flagger» («avertisseur attitré») l’an passé, elle parvient à tenir tête au site de partage de vidéos (un milliard d’utilisateurs). Un statut privilégié accordé assez rarement.

Le «trusted flagger» est une sorte de lanceur...