Les belligérants en Syrie montent chaque jour un peu plus haut sur l’échelle de l’horreur. Dans la catégorie «mise en scène de l’horreur», aucun d’entre eux n’arrive à la cheville du groupe Etat islamique (EI). De même, dans la catégorie «crimes de guerre», les troupes du régime et ses alliés russes, iraniens, libanais ou encore irakiens, laissent loin derrière la concurrence. Les combattants des factions antigouvernementales ne sont pas des enfants de chœur pour autant.
«Depuis le début du conflit, les rebelles commettent aussi des crimes, mais pas de manière aussi systématique que les forces ...