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Les moments forts du samedi au Chant du Gros

Dernier jour du festival et pas des moindres: sons africains, chansons françaises et électro-swing ont embrasé la Sainte Scène. Clous de la soirée: l’envoûtement musical de Magic System et la nostalgie de Kyo.

09 sept. 2018, 08:00
Une dernière soirée en beauté pour le Chant du Gros samedi, avec l'ouverture explosive de Magic System.

Bouger bouger 

Il n’aura fallu que leur présence sur scène pour donner envie aux festivaliers de se déhancher. Les Ivoiriens de Magic System l’ont prévenu: après un concert en leur compagnie, pas besoin d’aller faire du sport.

Une heure de zouglou ça passe trop vite, surtout quand le groupe donne un petit cours de danse sur scène. Un échauffement très apprécié. 

Le calme après la tempête 

Autre concert, autre ambiance avec Bernard Lavilliers. Plus calme, plus feutré, la musique s’impose doucement sur la Sainte Scène et les festivaliers semblent conquis, même si leur ventre crie famine et leur impose un petit détour par les stands de nourriture. 

Tout envoyer en l’air 

Les paroles de toutes leurs chansons sur les lèvres, le public jurassien a acclamé Kyo.

«Dernière danse», «Je saigne encore», «Le chemin», le groupe français a bien compris que les festivaliers voulaient se remémorer leurs plus gros tubes. Du rock qui fait encore danser les adolescents d’aujourd’hui et ceux d’hier sur la Sainte Scène comme ailleurs. 

Electro à fond 

Sans son DJ principal aux platines, le groupe autrichien Parov Stelar a quand même assuré le concert et balancé la sauce pour les amoureux de l’électro-swing.

Du jazz façon 2.0 a fait trembler le festival du sol au plafond. De quoi faire peut-être oublier l’absence de Shaka Ponk aux festivaliers. 

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