La 21e cuvée du Chant du Gros (les 6, 7 et 8 septembre au Noirmont) pourrait être celle de tous les superlatifs. Deux semaines après la sortie de la programmation et le début des prélocations, les organisateurs affichent un sourire radieux. Une euphorie brisée toutefois par le récent décès de l'ami Pesti, le cuisinier des bénévoles. Mais quand la Grande Faucheuse décide d'actionner la manoeuvre, même la musique est impuissante.
Les abonnements s'arrachent. Quelque 1800 ont trouvé preneurs l'espace d'une quinzaine. Il en reste 200 en vente. " Les abonnements se sont arrachés comme des petits pains. Il n'est pas impossible que nous en mettions plus de 2000 à disposition du public" , commente Pierric Froidevaux, le grand argentier du festival.
Le point de la situation, billets et abonnements compris. Le jeudi, 3500 tickets vendus. Le vendredi, 4300. Le samedi, 4500. Du jamais vu. En sachant que ce sont environ...