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Geosatis, la start-up noirmonnière, pense à des bracelets électroniques pour les migrants

José Demetrio est à la tête de la start-up noirmonnière Geosatis. Une petite boîte qui monte et étend son marché dans le domaine des bracelets électroniques. Qui dit expansion, dit nouvelles idées. Le boss de Geosatis en a une. Est-il envisageable de poser des bracelets électroniques à des migrants tant que leur situation n'est pas régularisée? Il a adressé la question à des organisations internationales. Nous aussi.

04 déc. 2016, 20:40
/ Màj. le 05 déc. 2016 à 06:30
Jose Demetrio, patron de Geosatis, au Noirmont.

"Les Etats posent déjà des bracelets électroniques à des migrants, par exemple au Canada et aux USA", lance pour défendre son idée José Demetrio, patron de la start-up noirmonnière Geosatis, qui se situe au 54 e rang des 100 meilleures start-up de Suisse. 

Donc il caresse l'idée de se lancer dans le domaine aussi. "Les gouvernements se posent la question. Les gens également. Ne vaut-il pas mieux laisser les migrants entrer en Europe, où ils viennent chercher de l'aide, et leur poser un bracelet électronique tant qu'ils n'ont pas tiré leur situation au clair, plutôt que des les entasser dans des camps?"

Telle est sa question. Nous l'avons posée aussi à des organisations humanitaires internationales.

Réponse aujourd'hui dans nos éditions payantes.

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