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«Il deviendra difficile de sanctionner»

En désaccord avec les décisions du Tribunal arbitral du sport, le CIO et Denis Oswald n’ont pas encore refermé le dossier du dopage institutionnalisé en Russie.

09 févr. 2018, 00:01
International Olympic Committee (IOC) member Denis Oswald of Switzerland arrives to the opening session of the first day of the executive board meeting of the International Olympic Committee (IOC) at the IOC headquarters, in Pully near Lausanne, on Tuesday, December 5, 2017. (KEYSTONE/POOL/Laurent Gillieron) SWITZERLAND IOC EXECUTIVE BOARD MEETING

Denis Oswald aurait bien aimé visiter une dernière fois les installations de PyeongChang avant le début des Jeux. Mais depuis son arrivée en Corée du Sud vendredi dernier, le président de la commission disciplinaire du CIO en charge du dossier du dopage institutionnalisé en Russie entre 2011 et 2015, n’a pas eu une seconde à lui.

Au cœur d’une bataille juridique avec le Tribunal arbitral du sport (TAS), le «gouvernement olympique» et l’avocat neuchâtelois ne comprennent toujours pas la décision de l’autorité lausannoise. «Au moindre doute, les arbitres (réd: du TAS) ont renoncé à sanctionner alors qu’ils devaient retenir la solution la plus vraisemblable tout en se sentant à l’aise avec le résultat», se désole-t-il. «Si l’on va dans cette direction, il deviendra très difficile de sanctionner les tricheurs, à moins qu’on les prenne en flagrant délit!»

Décisions aujourd’hui

Il y a huit jours, la cour suprême du sport...

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