Il est plus léger, plus silencieux, moins gourmand en kérosène et plus écologique que les oiseaux de fer qui composent la flotte actuelle de Swiss. La compagnie inaugure aujourd’hui l’arme avec laquelle elle espère contrer la concurrence des compagnies à bas prix: le CS300 de Bombardier. La mission du dernier né de l’avionneur canadien, livré avec deux ans de retard, sera déterminante à l’aéroport de Genève. Le géant du «low cost» Easyjet s’y attribue près de 43,6% des parts de marché, contre 14,4% pour Swiss.
Une situation qui a failli amener Lufthansa, propriétaire de Swiss, à priver Cointrin...