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Les constructeurs aiment le secret

L’arrivée de la voiture connectée soulève de nombreuses questions concernant la sphère privée.

07 mars 2019, 00:01
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Après un démarrage lent, les investissements se déversent par milliards sur l’industrie automobile et l’informatique pour maîtriser les prochains progrès de la voiture, la connexion et l’autonomie. Avec quelles conséquences pour les conducteurs et leur environnement? Les réponses de Dimitri Konstantas, directeur de l’Institut des sciences de l’information à l’Université de Genève, en marge du forum Shift consacré aux nouvelles technologies du Salon de l’auto à Palexpo.

Quand les voitures connectées seront-elles majoritaires sur nos routes?

Probablement dans une vingtaine d’années, vers 2035 ou 2040. Et là, on ne parle que des voitures privées. Pour les transports publics, cette évolution se fera beaucoup plus vite: dans cinq ans, dix ans tout au plus.

Pourquoi cette différence?

Les transports privés ont des exigences beaucoup plus compliquées que celles des transports publics. Ces derniers suivent des parcours fixes selon des horaires établis et obéissent à des protocoles d’exploitation prédéterminés. Ce n’est...

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