D’un côté, une Banque nationale suisse (BNS) assise sur un trésor de guerre d’une valeur supérieure à 560 milliards de francs. De l’autre, un chômage découlant en grande partie du franc fort et qui semble ne plus vouloir s’arrêter de grimper. Dans ce contexte, les velléités de création d’un fonds souverain nourri par cette manne parquée afin d’endiguer les suppressions d’emplois subsistent.
Que la gauche et des élus PDC y soient favorables sur le principe, on le savait. Au PLR et à l’UDC, en revanche, la question a jusqu’ici été peu évoquée, ou alors n’a soulevé que peu d’enthousiasme...