Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Ces pommes de terre neuchâteloises qui deviennent des frites ou des chips

L’essentiel de la production de pommes de terre de Serge Fankhauser, agriculteur au Landeron, est destiné à la transformation en frites ou en chips. Pour les frites, c’est Frigemo, à Cressier, qui est à la manœuvre.

05 déc. 2019, 11:57
Serge Fankhauser et ses caisses où sont conservées les pommes de terre destinées à la vente directe.

Dans la petite salle où nous nous trouvons ce jour-là, il ne reste qu’une vingtaine de caisses. Des étiquettes mentionnent trois variétés: innovator, victoria et agria. Le gros de la production, lui, se trouve désormais dans les locaux de Frigemo (anciennement Cisac), à Cressier.

Nous parlons des pommes de terre cultivées par Serge Fankhauser, au Landeron. Il fait partie des agriculteurs dont l’essentiel de la production est transformé en frites, chips et autres flocons pour la purée. «Je consacre environ 10% à la vente directe. Tout le reste, soit 180 tonnes, est livré à des entreprises de transformation, principalement pour des frites et des chips.»

Davantage de travail

Serge Fankhauser cultive également de la betterave, du colza et du blé. Il élève par ailleurs une centaine de bœufs pour la consommation de viande.

La vente directe de pommes de terre, en l’occurrence, c’est un petit local situé dans un bâtiment...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias