Ils étaient cinq mercredi 23 juin, au soir, à Derrière-Pertuis. Cinq à s’élancer sur les 16,75 km du parcours vaudruzien avec une aide bienvenue. Celle de la batterie de leur vélo électrique. Si une catégorie spécifique avait été créée en 2019, les VTT de ce type étaient déjà autorisés auparavant. Pas de classement, mais les temps sont chronométrés et certains coureurs apprécient tout de même de se tirer la bourre.
A lire aussi: Raiffeisen Trans: une étape à part à Derrière-Pertuis
«Les jambes travaillent quand même, explique Rémy Jeanneret. Le moteur est «intelligent», il aide en fonction de notre effort. Je ne faisais pas de VTT auparavant, je n’aurais pas le niveau physique pour m’élancer sur la course principale. Le vélo électrique permet de prendre du plaisir en faisant une course confortable, tout en ayant un rythme élevé et agréable.»