Consultant pour la RSI, je vais commenter l’US Open, dès lundi, en cabine. Depuis la Suisse. Le virus est encore très actif, mais je suis content que le tennis reprenne: marre des rediffusions! Je suis surtout curieux de voir ce que cela va donner car, avant même que le tournoi ne commence, il semble acté que cette édition 2020 sera le Grand Chelem le plus spécial de l’histoire.
Mais un «vrai» Grand Chelem malgré tout, parce qu’il faudra remporter sept matches au meilleur de cinq sets pour soulever la coupe. Comme toujours.
Je dis spécial, mais j’aurais pu utiliser les mots «étrange» ou «bizarre». D’abord, parce que joueurs et joueuses sont logés dans une «bulle» et que l’événement se déroulera à huis clos, alors même que le complexe de Flushing Meadows, à New York, est le plus vaste de tous.
A lui seul, le stade Arthur-Ashe ne peut-il pas contenir...