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"L'US Open est pour moi une énorme foire": la chronique de Claudio Mezzadri

Chaque semaine, un sportif nous livre sa vision de son sport et l’analyse de sa semaine. Claudio Mezzadri nous parle du dernier tournoi du Grand Chelem de l'année.

15 août 2019, 19:36
Swiss team captain Claudio Mezzadri, left, talks to his tennis player Roger Federer between games in Federer's match against Davide Sanguinetti of Italy in the Davis Cup round Switzerland vs Italy, Friday, April 2, 1999 in Neuchatel.  (ELECTRONIC IMAGE)  (KEYSTONE/Alessandro della Valle)

Chaque Grand Chelem a ses spécificités. L’Open d’Australie est peut-être le plus moderne. N’est-ce pas le premier qui s’est doté d’un toit, au nombre de trois aujourd’hui?

A contrario, Roland-Garros tranche par sa vétusté: depuis toujours, le rendez-vous parisien souffre d’un manque d’espace, mais le poids de son histoire est presque aussi grand que celui de Wimbledon, où le mot «méticulosité» me vient à l’esprit à chaque fois que je vois ses balcons fleuris.

Le tournoi majeur qui commence dans un peu plus d’une semaine a ceci de particulier qu’il est immense, à l’image du globe terrestre construit en 1964 à l’occasion de la Foire internationale de New York et qui accueille les spectateurs à l’entrée du parc de Flushing Meadows.

A chaque fois que j’y posais mes valises, j’étais comme saisi par l’énormité de l’endroit et de l’événement.

C’est ça, l’US Open est pour moi une énorme foire. Et...

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