Je sors de quelques semaines intenses entre les 24 Heures du Mans et le grand-prix de Formule E à Berne. J’ai enchaîné deux des moments les plus importants de ma saison. Durant la course des 24 Heures du Mans, j’étais presque un peu résigné. Nous n’étions pas du tout dans le même état d’esprit que l’autre voiture Toyota.
Elle devait à tout prix gagner pour espérer remporter le titre. Elle n’avait donc pas à calculer alors que de notre côté, nous pouvions encore tout perdre. Nous étions davantage sur la défensive. C’est vrai que notre victoire était un peu chanceuse. Ça n’avait rien à voir avec notre succès en 2018. En même temps, en 2016, nous nous étions inclinés lors du dernier tour. Comme quoi, la chance peut tourner parfois.
A Berne, ça me tenait très à cœur parce que je savais qu’il y avait une probabilité que ce soit...